Je suis : Skeld, Modérateur, chien majordome un peu bizarre ... |
Crédits avatar : AledaneF État d'Advictâme : Informations sur le personnage : Skeld, c'est un vieux chien un peu bizarre que Zhilla et Cosmos ont adopté. Faut dire qu'avec sa tronche (le truc a un crâne à la place de la tête quand même...), difficile de se faire adopter. Heureusement, Zhilla et Cosmos avaient un grand coeur (combiné à une myopie sévère), et ils l'ont accueillit pour mieux le mettre au boulot. Un chien squelette majordome, c'est ce que Skeld est devenu ! Maintenant il fait le tri dans les choses de la maison. Comme quoi, on peut être moche mais organisé ! Inventaire de dés : ➔Bonus d'éveillé : 3 [6 max] ➔Passage à la Transcendance : 3 [6 max] Reserve de point(s) : 412
| Sujet: Isidore Vivestrian Mar 11 Juin - 9:29 | |
| Isidore Vivestrian Personnage libre Informations Générales | Éléments de son état civique : Entre 30 et 40 ans Marlois, né près des marais sinistres Possède un frère jumeau, introuvable Jamais marié, jamais parent Son surnom ; Automne. L’automne arrive avant l’hiver, comme Isidore arrive avant la mort, c’est tout simple, et d’une poésie cruelle. (Fiche des SV)
Éléments de son physique : Grand et svelte Monochrome, comme les marais d’où il vient Yeux et chevelure de jais, peau blafarde Air altier Une certaine chaleur dans sa rectitude militaire Souple, gestuelle fluide
| Psychologie & HistoireQualités/points forts et défauts :
- Impavide : L’onde qui porte sur laquelle flotte le tempérament d’Isidore est en une longue, et calme. Il est assuré, placide. Sa joie se mesure dans un sourire à peine esquissé, une lueur douce dans les pupilles. Sa colère n’est qu’une veine qui se gonfle à la base du cou, ou une respiration qui se hachure avant de se relancer. Mais surtout, sa peur n’en n’est pas une. Isidore ne craint pas ; c’est lui qui faut craindre.
- Propre : Propre de tout : de sa personne, de sa façon de travailler, de son espace. Isidore est quelqu’un d’ordonné, de rangé, de méthodique. Ses vêtements sont toujours impeccables, et sa dague aussi. Il sait où planter la lame afin d’éviter que le sang ne jaillisse, il ne laisse pas les corps tomber à ses pieds (il les dépose avec douceur, comme on place une fleur dans un vase), il nettoie toujours les lieux du crime, s’assure de bien replacer tous les objets d’une demeure lorsqu’il referme la porte derrière lui, laissant les propriétaires allongés dans leur lit, vêtu d’habits propres, froids et rigides comme du bois mort.
- Pédagogue : Son calme, son cartésianisme, sa patience, sa mesure - voilà des qualités qui, une fois réunies, ne manquent pas de faire d’Isidore un excellent professeur. Il peut répéter trente fois la même chose, sur le même ton, plus conciliant encore qu’un père. Il sait guider, attendre, respecter. Il sait montrer les règles de l’art. Il sait donner envie, décrire l’horreur comme s’il s’agissait d’une oeuvre d’art, et faire en sorte que de l’exercer devienne de l’ordre de la vocation.
- Inflexible : Isidore a statufié sa pratique et ses valeurs dans le carcan très étroit des Sangs-visage. Sa pratique est inébranlable, ses principes aussi. Il ne fait aucune entorse à son code d’assassin, dûsse-t-il tuer ses propres amis, ou sa propre famille. Le droit chemin n’est pas dicté par la pitié, ou la morale, mais par les enseignements de son mentor. Si on ne respecte pas cela, on n’est pas mieux que des sauvages, des non-civilisés ; et Isidore, lui, est le plus civilisé des hommes. Il peut paraître sans coeur mais en fait il... non, d'accord, il est sans coeur.
- Arriviste : Quoi, vous avez parlé à Isidore dans l’heure qui précède et il vous a semblé être un type bien, propre de sa personne, doux, aimable, simplement parce qu’il vous a offert son repas ? Et maintenant, il vous annonce la date à laquelle il reviendra vous ouvrir la gorge si vous ne payer pas votre dette, même si vous n’avez même plus de quoi vous nourrir, vous et vos enfants. Il est ainsi, sans scrupules, toujours rivé sur l’objectif. Ne le prenez pas personnel. C’est purement professionnel.
- Capiteux : Isidore l'est dans tous les sens du terme. Réservé, mais pas moins amant de la luxure. Il aime les choses bien faites, de qualité, tout comme les gens qu'il fréquente. Il évolue très bien dans la haute et sait se faire enivrant.
Éléments d'histoire :
- Naissance : Des jumeaux, une mère morte en couche, un père inconnu. C’est d’une banalité ces histoires, si vous saviez.
- Mentor : C’est une femme. Elle est plus froide que la neige, plus égale que la ligne d’horizon. Isidore trouve en ses enseignements un sédatif puissant et salvateur pour sa conscience. Il boit son savoir. Tuer ne le dérange pas. Pas comme son frère jumeau.
- L'arche : Il était à un banquet. Tout le monde mangeait avec bonheur, c’était la fête. Mais les assiettes étaient vides, et les coupes aussi.
- Premier contrat : Il a 19 ans. Il doit tuer un noble si ce dernier refuse de reverser une dette envers ses créanciers. Le noble n’entend pas céder devant de grotesques techniques d’intimidation venant de la part d’un imbécile de puceau tout juste sorti du ventre de sa mère. Isidore revient rendre visite au noble à la date convenu, juste avant l'hiver, et le tue dans son jardin, sur les feuilles rouges de l’automne, pour que le sang de sa première victime se mêle au décor. Ça fait plus rangé. Voilà, c'est plus propre ainsi. Il sera Automne. Celui qui vient avant le premier gel, celui qui prend au corps, et duquel on ne se réveillera plus.
- Disparition de son jumeau : Il a 23 ans quand son jumeau disparaît. Il a quitté les Sangs-visages. Isidore a comme contrat de l’assassiner. À ce jour, il n’a pas encore honoré son mandat ; lui, comme tous les autres assassins mis sur l’affaire, n’ont jamais retrouvé le déserteur. Isidore traîne ce contrat depuis trop d’années. S’il recroise son frère, il sera sans pitié.
Autres informations :
- Troisième don : Étranglement, ses assaillants lâchent tout, porte leur mains à leur gorge, révulse des yeux dans leurs orbites ; ils manquent d'air. Plus rien ne sort, plus rien de rentre. Enfin, c'est une illusion. L'effet peut se prolonger quelques secondes, et jusqu'à 5 minutes. Rendu là, c'est de la torture psychologique. Car on ne s'évanouit pas, non, on reste bien lucide. On meurt d'asphyxie, voilà, durant 300 longues secondes. On meurt, on souffre. Et d'un seul coup, l'air revient. L'air n'a jamais manqué, finalement. Mais Isidore s'est éclipsé depuis longtemps.
Masque de Sang-Visage : Automne, masque réalisé par @Dala Tendrion
Notes sur le prédéfini de la part de son créateur Prédéfini proposé par : @LUDIVINE PERMONT Lien vers l'image de base : Lien Éléments modifiables : Beaucoup de choses ? Son nom, l'histoire de son frère jumeau (bah oui), le passé avec son mentor, l'arche de passage, etc. En fait, l'histoire en générale est ultra-malléable. Éléments non-modifiables : Cette ''propreté'' qui caractérise son style d'assassin ; Isidore n'est pas le sociopathe dément qui se roule dans le sang de ses propres victimes. Il aborde son statut d'assassin comme une réelle profession, une vocation même ; il se voit comme quelqu'un d'honorable, et tire le côté sinistre de sa pratique par ce côté froid du meurtre qu'il exécute presque comme une recette de cuisine, laissant toujours le comptoir de travail impeccable une fois la tarte bien au four. (Bon, à vous de voir le niveau d'humanité que vous voulez lui donner. Est-il complètement refoulé, se protège-t-il derrière cette pratique totalement détachée, est-il tout simplement un putain de sadique qui s'assume, genre justicier Dexter ou simple amoureux de la mort, à votre guise !)
Et bien sûr, le physique (beh oui, je sais que l'avatar est en noir et blanc, mais vous ne l'imaginez pas ROUX tout de même ! Si ?)
- Le masque de Sang-Visage et comment/pourquoi le personnage l'a choisi : Masque Automne, parce que « l’automne arrive avant l’hiver, comme Isidore arrive avant la mort, c’est tout simple, et d’une poésie cruelle », et parce que son premier assassinat s'est déroulé sous et sur les feuilles carmins d'une saison qui s'achève, et qu'alors, tout était rouge. (Il aime ce qui est uniforme, que voulez-vous ) Dernière(s) précisions : Nada ! Oh oui : je lui imagine une voix particulièrement grave. HIHI. |
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Je suis : Zhilla, Fondateur, lézard overbooké et caféiné |