Quote le RP (Jeu)

Alors, j'ouvre un nouveau jeu !
Sur le même principe que "Qu'est ce que tu lis" on va pouvoir, dans ce jeu, faire partager des passages de RP

Alors le fonctionnement :

On donne au prochain joueur une condition
(exemples :
Citer un passage d'un RP d'un personnage qui a les cheveux roux
Citer un passage d'un RP d'un personnage qui a un R dans son pseudo
Citer un passage romantique écrit dans un RP
etc...)

Et la personne suivante doit mettre la citation d'un passage d'une réponse à un RP qui correspond pour ensuite redonner elle même une condition pour le prochain et ainsi de suite.

On peut totalement citer un passage d'un forum autre qu'Advictâme ! (Forum mort ou non)
Il faudra à chaque fois citer : le personnage et le forum d'où vient le passage
Vous pouvez citer des passages de vos propres personnages.

Formulaire

Code:

[b]Sur le forum :[/b] [url=#Lien-forum]NOM FORUM[/url]
[b]Dans le sujet :[/b] [url=#Lien-sujet]Sujet[/url]
[quote="NOM DU PERSONNAGE CITE"][/quote]

[b]Pour le prochain :[/b] mettre ici votre "exigence" pour le prochain post à citer (vous pouvez ré-utiliser une exigence déjà demandée avant vous si vous n'avez pas d'idée)

Je commence avec une condition facile :
Citer un passage d'un RP d'un personnage qui est une femme

Aller ! J'ouvre le bal


Sur le forum : Infernum
Dans le sujet : Magic trick mais vous n'avez pas accès donc il faudra me croire

Zira Letsvana a écrit:

Ils étaient tous les mêmes.
Seka n'avait eu de cesse de le lui répéter.
"Ceux qui ne sont pas thusiens, tu auras beau être à leur écoute et rester patient, ils manqueront de temps pour accepter d'en sacrifier plus que nécessaire... alors, en échange, c'est toi qu'ils sacrifieront. "

Le langage de l'homme et son comportement n'auraient pu être des preuves plus évidentes. Lorsqu'il devint grossier et lui attrapa le bras, Zira tourna vivement sa tête vers lui, les yeux devenus écarquillés. Elle était loin de se douter de ce qu'il avait vu, ou de ce qu'il venait de vivre à l'instant.

Brusquement, elle le saisit par la gorge et le repoussa vers le mur le plus proche - faisant sursauter les badauds éveillés du bar. Pour le coup, le barman venait d'en faire tomber son verre. Mais Zira ne leur prêtait aucune attention.
Sa main, dictée par plus de cinquante ans d’entraînements, écrasait la trachée de l'homme en menaçant de le rendre muet à vie.

Pour mieux comprendre : Les Thusiens sont des sortes de vampires. (et le couillon qui vient de provoquer celle-ci est évidemment, mon personnage... J'aime faire le con avec des femmes dangereuses )

Pour le prochain : Citer un passage de post de votre choix d'un personnage ayant plus de 25 ans.

Je n'avais pas encore pris le temps de poster ci pourtant ça fait un moment que j'y pense !
Mais ce passage m'a convaincue, appréciez plutôt...


Sur le forum : Advictâme
Dans le sujet : Il n'y apasde mauvas temps, seulement de mauvais habits

Ophélia Valoriel a écrit:

Ophélia ne put terminer sa tirade car elle buta contre une pierre, dérapa, tenta vainement de retrouver son équilibre avec des gestes plus qu'approximatifs mais son sac à dos fini de la déstabiliser et ce qui devait arriver, arriva. L'érudite s'étala de tout son long dans la neige, renversant au passage une partie de ses affaires dans un concert de tintement qui aurait fait fuir tous prédateurs aux alentours. Si le ridicule ne tuait pas, il venait néanmoins d'écorcher vif sa fierté. Elle se redressa, mortifiée, rouge de honte et couverte de la tête au pied de morceaux de neige qui, en fondant, aggravait le froid qu'elle ressentait déjà. Elle s'empressa de s'épousseter avant de ramasser prestement le contenu renversé. L'idée de disparaître sous une congère de neige lui semblait bien douce tellement elle était gênée. La jeune femme ne se rendit même pas compte de ses dents qui s'entrechoquaient alors que l'humidité la glaçait d'avantage, provoquant d'impressionnants frissons. Après avoir vérifié que tout son matériel était là et bien entier, elle se tourna vers Maeg, évitant son regard :

« - E-Excusez moi pour ce contr-re temps, o-on peut repartir ... »

Un éternuement l'obligea à se taire. Jamais encore Ophélia ne s'était sentie aussi stupide. Cette expérience était particulièrement douloureuse.

Pour le prochain : cite un passage où le personnage se rend ridicule sans qu'il ne s'en rende compte (ouais, je sais, c'est pas facile, mais dans le code il y a écrit "votre exigence"... je le suis nan ? xD)

(HAHA j'adore tellement ce passage aussi !)

Pour celle-là, spéciale dédicace à @"Khasakham d'Acrimée:D"
Sur le forum : Ile aux joyaux
Dans le sujet :réception chez les Desnolancès

Khasakham Desnolancès a écrit:

EXPLICATION DE LA SITUATION : Cela se passe à une réception entre familles riches. le petit Khasakam a repéré qu'un des convive avait une canne et, est persuadé que celui-ci a une jambe de bois... (alors que pas du tout)

Avisant un homme resté seul, il décida de s'approcher de lui. L'inconnu devait se mouvoir avec difficulté, car une canne était posée près de lui, et il massait sa cuisse comme si celle-ci le faisait souffrir. Un ancien soldat ? Peut-être avait-il une jambe de bois ? Khasakham avait toujours aimé les jambes de bois. Elles donnaient un petit côté mystérieux, viril et inquiétant à celui qui en possédait une. [...]

il poursuivit d'un ton nettement plus intrigué, une lueur de convoitise allumée dans ses yeux mordorés, sans songer à s'excuser de son attitude franche:
"Dites-moi... je suis moi-même Veilleur Pourpre, et il se trouve que dans peu de temps, je vais partir en expédition sur cette fameuse Île Blanche, qui fait tant jaser... et ... enfin, disons que je risque d'avoir à me battre pour sauver ma vie, enfin, la routine, quoi."  fit-il en haussant une épaule. Bien sûr qu'il inventait au fur et à mesure. Bien sûr qu'il ne préparait rien à l'avance. Bien sûr qu'il y aurait des retombées si cela ne fonctionnait pas. Mais bon, ce ne serait pas la première fois! "Je pourrais perdre l'une de mes jambes lors d'un combat sanguinaire, et bien que cette idée ne m'enchante guère, je vous assure, je préfère prendre en compte toutes les possibilités, et faire un tour chez les menuisiers du coin, enfin vous voyez de quoi je parle, je suppose." Si Khasakham se serait écouté, il aurait continué de parler ainsi sur un ton badin, un coude nonchalamment posé sur la table derrière lui, admirant les ongles de son autre main, comme il avait vu certaines Korruléennes le faire de temps à autre. Mais il décida que ce serait peut-être trop exagéré, alors il préféra poursuivre de la même manière. Prenant une attitude plus naturelle, comme s'il s'apprêtait à révéler un secret important, il continua:

"Enfin, bon... je me demandais si vous pourriez m'indiquer une ou deux bonnes adresses. Un homme de votre statut doit surement connaître des tas de bons filons, pas vrai ? Et entre-nous, vous avez ma confiance absolue. Après-tout, nous sommes voisins, non ? Entre voisins, on doit se serrer les coudes!" Il ponctua cette dernière déclaration d'un sourire qui se voulait à la fois mature, sûr de lui, charismatique et avenant. Mais il ne fit que lui donner l'air d'un adolescent un peu trop prétentieux.[/b][/b]

(HAHA j'adore tellement ce passage aussi !)

Pour celle-là, spéciale dédicace à @Khasakham d'Acrimée
b]Sur le forum :[/b] Ile aux joyaux
Dans le sujet :réception chez les Desnolancès

Khasakham Desnolancès a écrit:

EXPLICATION DE LA SITUATION : Cela se passe à une réception entre familles riches. le petit Khasakam a repéré qu'un des convive avait une canne et, est persuadé que celui-ci a une jambe de bois... (alors que pas du tout)

Avisant un homme resté seul, il décida de s'approcher de lui. L'inconnu devait se mouvoir avec difficulté, car une canne était posée près de lui, et il massait sa cuisse comme si celle-ci le faisait souffrir. Un ancien soldat ? Peut-être avait-il une jambe de bois ? Khasakham avait toujours aimé les jambes de bois. Elles donnaient un petit côté mystérieux, viril et inquiétant à celui qui en possédait une. [...]

il poursuivit d'un ton nettement plus intrigué, une lueur de convoitise allumée dans ses yeux mordorés, sans songer à s'excuser de son attitude franche:
"Dites-moi... je suis moi-même Veilleur Pourpre, et il se trouve que dans peu de temps, je vais partir en expédition sur cette fameuse Île Blanche, qui fait tant jaser... et ... enfin, disons que je risque d'avoir à me battre pour sauver ma vie, enfin, la routine, quoi." fit-il en haussant une épaule. Bien sûr qu'il inventait au fur et à mesure. Bien sûr qu'il ne préparait rien à l'avance. Bien sûr qu'il y aurait des retombées si cela ne fonctionnait pas. Mais bon, ce ne serait pas la première fois! "Je pourrais perdre l'une de mes jambes lors d'un combat sanguinaire, et bien que cette idée ne m'enchante guère, je vous assure, je préfère prendre en compte toutes les possibilités, et faire un tour chez les menuisiers du coin, enfin vous voyez de quoi je parle, je suppose." Si Khasakham se serait écouté, il aurait continué de parler ainsi sur un ton badin, un coude nonchalamment posé sur la table derrière lui, admirant les ongles de son autre main, comme il avait vu certaines Korruléennes le faire de temps à autre. Mais il décida que ce serait peut-être trop exagéré, alors il préféra poursuivre de la même manière. Prenant une attitude plus naturelle, comme s'il s'apprêtait à révéler un secret important, il continua:

"Enfin, bon... je me demandais si vous pourriez m'indiquer une ou deux bonnes adresses. Un homme de votre statut doit surement connaître des tas de bons filons, pas vrai ? Et entre-nous, vous avez ma confiance absolue. Après-tout, nous sommes voisins, non ? Entre voisins, on doit se serrer les coudes!" Il ponctua cette dernière déclaration d'un sourire qui se voulait à la fois mature, sûr de lui, charismatique et avenant. Mais il ne fit que lui donner l'air d'un adolescent un peu trop prétentieux.

en réponse, l'homme lui répond a écrit:

Tout d'abord je n'aime pas beaucoup qu'un jeune riche se permette de parler aussi irrespectueusement de mon infirmité, et cela quand bien même il soit Veilleur et risque lui aussi de perdre sa jambe et bien plus encore si j'en crois ce que j'ai entendu. Je vous souhaite donc bonne chance pour vos années futures et je prierai Ruyn pour qu'aucun de vos membres ne soient touchés, brûlés, arrachés ou écrabouillés. Ensuite, je vous conseillerai de faire tourner bien plus longtemps cette langue puérile dans votre bouche avant de vomir autant d’inepties à la seconde.

Pour le prochain : Cité un passage émouvant (que l'on passe un peu des rires aux larmes)

OMG ILCLASTE. Tu sais que j'étais repassée sur l'Île aux Joyaux pour relire ce rp justement, j'étais effondrée à ce moment là xD

Khas' : <3 Je me lasse pas de le relire !

Petit Up pour la suite :

Citation :

Pour le prochain : Cité un passage émouvant (que l'on passe un peu des rires aux larmes)

Je me permes de me citer moi-même, ayant eut la boule au ventre en écrivant ce passage, j'estime donc qu'il est plutôt émouvant...

Valérian Hautiare a écrit:

Ce que lui avait dit le vieil homme, les encouragements prodigués, l'écoute attentive qui lui avait insufflé tant d'ardeur n'étaient que le produit de son imagination. Il n'était pas Naâme, il n'était pas réel. Certes sa pierre l'était mais son passage sous l'Arche n'était que le pitoyable rêve éveillé d'un garçon qui avait la tête bien trop faible et défaillante pour la couronne qu'il devait porter...

Il n'était qu'un insignifiant petit garçon qui ne serait jamais à la hauteur des attentes qui lui incombaient...


La déchéance d'un Prince.

Cite un extrait d'une conversation entre deux persos (ou plus) où l'un d'entre eux cherche à assoir son autorité sur un autre.

Hohoh j'ai le passage parfait.

Sur le forum : Archipel
Dans le sujet : Une grande rencontre

Darius Beauroix a écrit:

-Vous sentez-vous en insécurité Dame Mylessie ? Les rumeurs disent que l'on ne vous trouve pas de meilleur escorte que votre loup. Qu'il est votre protecteur. Je m'interroge donc sur sa présence, ici, dans ce bureau. Dois-je y voir une preuve de votre sentiment d'insécurité en ma présence ? Dois-je comprendre que vous me classez dans vos ennemis ?

Erihis Mylessie a écrit:

-Pour se sentir en insécurité, il faut craindre d’avoir quelque chose à perdre. Et ce que vous me menacez de me prendre ne m’appartient pas et n’aurait jamais du m’appartenir. Je n’ai peut être pas la compétence pour diriger Ileglace, je n’en ai pas la prétention car je n’ai pas été élevé pour être dirigeante. S’il m’ait donné de devenir Doyenne, je n’agirais pas contre mes principes et je ne mettrais pas mes citoyens en danger. J’apprendrais probablement beaucoup par la pratique. On ne dirige pas un domaine comme Ileglace comme on le ferait pour Opale ou Belhovre.  Si vous souhaitez éradiquer le problème, soit, je ne vous supplierai pas de ne pas le faire. Je veux simplement être sur que les Glaçois seront bien dirigés et en sécurité. Je ne vous demanderai qu’une chose, laissez moi juste rendre l’argent que mon Père leur a volé et leur présenter personnellement mes excuses pour ses agissements.

Darius Beauroix a écrit:

-Vous n'êtes pas en mesure d'exiger quoi que ce soit sur la façon dont seront traité les écarts de votre famille. La gestion d'un tel problème mérite un enseignement, qui selon ce que je vois, ne vous a pas été dispensé. Il ne suffit pas de naître dans une famille doyenne, pour faire une bonne doyenne. Il ne suffit pas d'avoir de «bonnes raisons» pour prendre de bonne décision.[...]  Cette histoire est une honte qui va éclabousser chaque Doyens et entacher leur légitimité aux yeux du peuple. Il faut plus que de la bonne volonté pour traiter ce dérapage et limiter ses dégâts. Vous n'avez pas été formée pour la place que vous occupez, alors cessez de faire comme si c'était la cas et apprenez les leçons avant d'en donner. Quand à vos litiges avec vos parents, il serait temps que vous grandissiez et les laisser derrière vous, vous n'avez plus l'âge pour jouer l'adolescente mal aimée et mal comprise. Réglez votre problème avec l'autorité, avant qu'un autre le face à votre place, car il est évidement que seule vous n'arriverez à rien. Je suis le Mâss et vous devez me rendre des comptes que cela vous plaise ou non. Votre allégeance m'est due. Quand à votre confiance, je ne suis pas de ceux qui se soucierons de l'acheter. Sommes-nous clairs ?

Erihis Mylessie a écrit:

Vous avez été on-ne-peut-plus-clair. Je comprends votre position et votre besoin d’avoir des personnes qui répondent oui à toutes vos paroles et demandes. Alors que peut fait une seconde née non-éduquées, qui n’a pas voix au chapitre, portant les crimes de ses parents, avec tous les défauts les plus honteux à vos yeux avec peu voir aucune qualité, pour vous satisfaire ? Dois-je prendre un tuteur ? Disparaitre ? Dire oui, je comprends à toutes vos paroles quitte à ne pas en penser un mot ? Dites moi, que dois-je faire pour réparer des erreurs que je n’ai pas commise si ce n’est d’avoir pris la place de mon ainée

Darius Beauroix a écrit:

Vous n'appréciez pas ma franchise ? Mais qu'attendez-vous de moi ? Une sucrerie pour vous encourager dans votre progression ? Vous êtes une future doyenne, pas un cheval. Apprenez à faire les choses parce que c'est votre devoir,non pour en être remerciée ou félicitée. Pleurez à l'injustice dans la fourrure de votre loup, puisqu'il est votre ami et confident, mais épargnez moi votre numéro de victimisation qui ne saurait m'attendrir.[...] Détestez moi si cela vous soulage, tant que votre travail est fait et ce correctement, cela me convient et je contenterais d'une relation cordiale. J'attends de mes Doyens de l'efficacité pas de l'amitié. [...] Ne perdrez pas votre temps à attendre de moi la moindre trace de clémence, vous n'en titrerez que frustration.

Pour le prochain : Poter le passage d'une description bien stylée !

Un peu de nostalgie, les "lupus" comprendrons x)

Sur le forum : VII - Le Requiem
Dans le sujet : inaccessible car le forum est fermé mais c'était dans la partie "SOLO" des personnages

Kiaa L. Lönnrot a écrit:

Une dizaine de minutes plus tard encore, l’immense lac se dessinait devant elle, étendant ses doigts gelés vers l’horizon. Un frisson lui parcourut l’échine, elle s’arrêta pour l’admirer. La dernière fois qu’elle l’avait vu lui semblait remonter à une éternité. Elle laissa échapper un soupir brumeux, puis se remit en marche. À quelques mètres de là se tenait toujours le chalet dans lequel elle avait vécu. Lui non plus ne paraissait pas avoir changé. C’était comme si le temps n’avait aucune emprise ici, comme si tout était scellé dans la glace en paysage monotone et cristallin. Elle fit le tour de la bâtisse afin d’examiner s’il y avait une quelconque présence, puis gravit les marches des escaliers. Le bois grinça sous ses pieds comme pour lui souhaiter la bienvenue. Elle trouva la porte fermée, vérifia le verrou en appuyant sur la poignée, puis glissa la main dans sa poche pour en sortir une clé qu’elle cala dans la serrure. Cette dernière lui céda sans réticence, et Kiia poussa le battant qui lui dévoila l’entrée. Elle ne bougea pas pour autant, elle n’osait pas. Sans s’en rendre compte, elle s’était arrêtée de respirer quelques secondes. Son cœur battait fort dans sa poitrine, puis se fit muet l’espace d’un instant. Elle n’aurait jamais osé avouer que, brièvement, elle avait espéré bêtement trouver un feu crépitant dans la cheminée, comme si la vie animait encore le foyer de son enfance.

Pour le prochain : le prochain extrait devra être autour d'un sentiment : joie, colère, tristesse, amour, etc... Citez un passage où le personnage est plein de ressentis...!

Sur le forum Advictâme by @Opaline Chantrelle
Dans le sujet : https://advictame-rpg.forumactif.com/t335-20-bellune-1100-malheureux-comme-la-pierre
Un petit passage sur Asha qui en a gros !

Citation :

Asha la toisa de tout son long, tandis que la chasseuse de prime, pas du tout impressionnée, laissa faire de bonne grâce sans sourciller. Une légère tension commençait à devenir palpable ... avant que la jeune joaillière ne se cogne et perde toute crédibilité, réveillant presque Azurin qui se redressa aussi agilement qu'un makicore.

Déjà irritée par la douleur de son pied, la faiblesse du ton de voix d'Azurin, et celle de ses mots la mit définitivement de mauvaise humeur, Opaline pouvait aisément le voir sur son visage, et, lorsqu'elle la somma de résumer la raison de leur venue, elle se pinça les lèvres.
Il y avait bien des choses qui ne changeaient pas ...

Pour le prochain : Une auto citation de l'un de vos persos qui résume très bien ce qu'il est

Sur le forum : Advictâme
Dans le sujet : Le Bal Masqués des aimés

Un passage qui lui ressemble tellement dans son côté le plus orgueilleux :

Ophélia Valoriel a écrit:

L’érudite alla vers une déception plus grande encore lorsqu’il entreprit enfin de lui répondre. Nul autre n’aurait pu lui répondre une phrase aussi dénuée de cohérence et par la même d’intérêt. Nâame seul savait à quel point les gens qui bégaillaient et trébuchaient sur leurs mots l’agaçait au plus au point. Était-elle tombée sur le seul sot de ce village ?

Pour le prochain : Citez un passage héroïque !

Sur le forum : Archipel
Dans le sujet : C'est un fameux trois-mats

Une jeune femme sauvée de la noyade quoi de plus héroïque ?

Citation :

La volonté de sauver cette femme prenant le dessus sur tout le reste, le mercenaire attacha finalement l’extrémité de la corde autour de sa taille. Il cria pour prévenir qu’il sautait puis sans attendre de réponse, plongea par-dessus bord.

La mer courbée était l’une des plus chaudes de l’Archipel, Enguerrand n’eut donc pas de mal à s’habituer à l’eau. Cependant la houle était particulièrement forte et compliquait fortement la nage. Il fallut plusieurs secondes au mésorian pour atteindre la jeune rescapée. Elle semblait encore consciente mais devait être extrêmement affaiblie. D’un bras il attira la Torkos contre lui et essaya de lui parler pour s’assurer qu’elle ne perde pas connaissance.

- Ne t’inquiète pas, tu seras bientôt au sec. Lui dit-il avec une voix rassurante, avant de regarder en arrière si ses équipiers étaient prêts à les remonter.

Un passage sanglant pour le prochain

Je dépoussière par ici puisqu'a été récemment posté un sujet tout parfait pour la demande de Dala...!!

Sur le forum : Advictâme
Dans le sujet : N'en déplaise à sa majesté

Skadi Meyelfeïn a écrit:

Alors, avec le bras sur mon épaule, et, appuyant sur la main comme poussant avec mon buste, je lui retourne l'os en un craquement qui signe le succès de mon entreprise. Il hurle, mais ne lâche pas son épée. Oui, les articulations retournées, ça peut être douloureux. Son bras remuait dans le sens inverse de ce qu'un coude normalement arrangé aurait dû faire. Mais ... il refusait de laisser partir le manche. Tant pis pour lui.

Je circule jusqu'à son côté, alors qu'il est occupé à se tortiller sous l'impulsion de la douleur. Il tient son coude de sa main opposé, visiblement alarmé par l'état anormal de son membre. Ce n'était rien, voyons, rien par rapport à ce qui arrivait désormais. Postée dans l'axe latéral de mon adversaire, je le voyais pleurer de profil, son poignet, mis en évidence. Alors, j'arque la lame par-dessus mon épaule et l'abat sans retenir mon bras. Un autre cri retentit, un silence dans l'arène se fait entendre et moi, je me satisfaisais de ma victoire.

La main coupée avait laissé une traînée de sang à la frontière de sa peau, mais il n'y a que des bourges pour avoir peur de se salir. Je récupère mon trophée, délestant l'épée des doigts toujours contracté, le bruit du métal dans le sable résonne alors. Je m'avance alors vers la reine, arrangeant la position des phalanges d'une manière bien particulière. Satisfaite, je reprends la parole qui m'est toute attribuée.

Pour le prochain : citer un extrait de RP qui vous a donné un fou rire

Alors ce n'était pas un fou rire, mais plus un eclat de rire (tout seul devant mon pc, la loose)


Sur le forum : infernum
Dans le sujet : Sujet

clare a écrit:

C'était une langueur pleine d'impatience. Des nuits passées dans un mutisme consternant, au sein d'une chambre d'hôtel inondée de papiers, officiant en tant que nouveau couvre lit, car Clare boudait le matelas depuis ces jours, qu'elle préférait le siège du fauteuil beige que le qualificatif de "moche" seyait à merveille.

Pour le prochain : un passage dont vous êtes fière !