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 [16 follune 1100] Orkann et fourberies

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Je suis : Rehan Renard,
cordonnier, itinérant

Rehan Renard

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Informations sur le personnage :
➔ se fait appeler Azurin Alissair
➔ don de syntonie
➔ bi-polaire
➔ cordonnier itinérant et fuyard
➔ tente d'éviter le plus possible d'aller en Marvier
➔ 22ans, 1m82, 76kg, musculeux
➔ longue estafilade sur la joue droite
➔ commence à développer une certaine addiction à l'orkann
➔ depuis peu trimballe un tilikop prénommé Rokann
[16 follune 1100] Orkann et fourberies Tilimini
➔ transcendance en follune pas encore jouée en RP : imitation

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MessageSujet: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies EmptyLun 1 Juin - 22:20

Orkann et fourberies
- soirée du 16 follune 1100, dans la boutique de Dame Carmen -


Après sa rude épopée marloise, Rehan avait repris la route pour Borderoc. C’était de loin la seule ville où il s’était senti bien et – loin d’être totalement apaisé non plus – en sécurité. Était-ce parce qu’il n’y était personne et n’y connaissait personne ? Était-ce parce qu’il y avait trouvé répit ? Était-ce parce qu’il y avait bravé sa propre vie et en était sorti vainqueur… ?

L’épisode de la libération des tilikops et la mort – assez certaine – d’un des trafiquants avait rapidement quitté les pensées du jeune cordonnier. Les semaines puis les mois avaient passé sans que rien ni personne ne semble chercher à retrouver les fauteurs de troubles. Il n’en avait même jamais entendu parler parmi les centaines de rumeurs et autres informations qui circulaient dans les rues ou étaient annoncés par les crieurs de rue. Il en avait donc conclu qu’il était toujours autant en sécurité dans cette pourtant si tumultueuse ville… Il fallait juste qu’il se tienne à l’écart de potentiels ennuis et tout irait bien…

Il était arrivé à Borderoc quelques jours après avoir quitté Aïdan, ne voulant s’imposer d’avantage et surtout voulant à tout prix quitter au plus vite le Marvier qui l’angoissait tant. Et puis il lui était trop difficile de se procurer de l’orkann dans ce duché et avait traversé une phase dépressive extrêmement pénible. Il avait même faillit se jeter dans une rivière – il s’était lié les jambes et y avait attaché des pierres – mais Rokann l’avait tant et tant inondé de câlins – alors qu’il avait pourtant tenté de s’en débarrasser quelques heures avant mais sans succès – que ses idées noires avaient finies par céder et qu’il avait repris la route vers Borderoc.

Finalement ses pensées dépressives l’avaient quitté – à grand renfort d’orkann dès qu’il eut pu s’en procurer – et il avait reprit le cours de sa vie « normale ». Travaillant d’arrache-pied le jour, profitant en soirée, amassant un petit pécule de lieutons – planquant la plus part de ses économies dans le tiroir secret de son sac-à-dos-atelier – dont il utilisait une bonne partie pour s’acheter de l’orkann. Il ne se reposait que très rarement dans une auberge, utilisait les bains publiques et dormait à la belle étoile à l’extérieur de la ville. C’était l’été, la saison était chaude et les nuits juste assez fraîches pour ne pas prendre froid. Les nuits de pluie il se faufilait dans une étable des fermes avoisinantes qu’il quittait au point du jour pour aller s’installer sur une des innombrables places de marchés dont regorgeait Borderoc.

Il se sentait bien, voir même heureux. Tellement même que lorsqu’il appris la chute de la secte maâliste il avait fait la fête toute la nuit avec de parfaits inconnus jusqu’à s’enivrer et profiter de la couche d’un homme ni beau ni laid mais qui avait flirter avec habileté avec lui toute la soirée. Il avait apprécié – sur le moment – mais avait fuit le lit dès leur petite affaire terminée. Il avait repensé à Avalon, au sentiment indicible qu’il avait d’être convaincu de ne jamais plus le revoir et ça l’avait assez perturbé pour qu’il ne puisse se débarrasser de cette pensée morbide qu’une fois jonché sur l’herbe fraîche, un joint entre les lèvres et Rokann lové contre lui.

Les jours suivants, il avait repensé aux Masques Maâlistes. Les rumeurs disaient que tous avaient soit été tués par les Saphirs, soit exécutés en place publique, soit suicidés par la brisure de leur pierre de vie. Soutenue par l’orkann qui infusait continuellement ses veines, la pensée que celui qui l’avait entrevu – bien des années auparavant – alors qu’il avait assisté à un rituel maâliste caché dans l’ombre, avait sans doute péri lui-aussi. Il ne s’en était senti que plus libre et plus heureux et ne se rendit pas toute de suite compte qu’il entrait dans une nouvelle phase d’euphorie.

Sa vie était simple, sa vie était belle, il faisait ce qu’il voulait, lorsqu’il le voulait, et n’avait besoin de rien ni personne – d’autre que son désormais compagnon de route animal – dans sa vie. Il n’avait que 22 ans et toute sa vie devant lui…

En cette belle soirée d’été, Rokann sur son épaule, après une rude journée de labeur, il faisait route vers un des nombreux revendeurs d’orkann – sous couvert d’une honorable boutique d’herboriste – qu’il côtoyait au fil du désemplissage de sa blague à tabac. Il ne s’était jamais fixé, préférant avoir plusieurs contacts, ne sachant pas dans quel coin de la ville il allait finir en fin de journée, mais il fallait avouer qu’il aimait bien venir dans cette boutique. Les herbes et plantes embaumaient l’espace comme un doux parfum apaisant, lui rappelant les décoctions que maître Clair faisait pour lui durant ses affres.

Penser à l’Ordre du Savoir réveillait toujours en lui de doux souvenirs. Il avait souvent regretté d’en être parti mais savait qu’il ne pourrait plus y retourner. En tout cas, pas dans l’immédiat… Il s’était fait à sa vie de mercanti itinérant et même s’il y était venu par la force des choses, il aimait cette liberté. Et puis de toute façon, le Marvier et surtout Albatra l’angoissait trop… Même savoir que les plus part des Masques Maâlistes avaient péri ne changeait en rien ce ressenti. Peut-être plus tard… Peut-être un jour y retournerait-il pour de bon mais pas tout de suite. Se cantonner à une seule ville, s’établir dans une échoppe ou se faire embaucher par un patron ne lui disait rien.

Arrivant aux abords de l’herboristerie il ralenti le pas puis passa la porte. La petite clochette retenti et l’herboriste l’accueilli avec son sourire chaleureux – comme à chaque fois qu’il y allait.


- Bonsoir Madame Carmen, la salua-t-il après s’être approché du comptoir et y poser Rokann qui, immédiatement s’assit sur son séant et commença à faire sa toilette comment se porte vos cinq petits chats ?
- Ils vont bien, merci Azurin ! avait-elle répondu d’un clin d’œil complice avant de disparaître dans l’arrière-boutique

C’était ainsi qu’on lui avait présenté les choses. « Tu vas chez Mme Carmen, deux rues derrière les arènes, en direction du quartier des ombres, et tu lui demandes comment vont ses petits chats… » Selon le nombre de chat annoncés, il fallait multiplier par 10 et donc savoir quel quantité d’orkann le client demandait réellement. Ce soir, Rehan avait assez bien gagné sa journée – et celles d’avant – pour en prendre cinquante grammes ce qui devrait le faire tenir au moins deux semaines sinon plus.

Posant son front contre le bois du comptoir, il poussa un soupire d’alégresse et rit doucement tandis que Rokann s’était mis à frotter sa tête contre son crâne, ronronnant rauquement.


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Je suis : Andalie Solet d'Olâtre,
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— Croquemite d'un mètre quatre-vingt trois, solide, impressionnante et balafrée, portant un masque pour cacher la moitié gauche de son visage lacéré. Il lui manque l'auriculaire, l'annulaire et l'index à la main droite.
— Toujours habillée de manière masculine, comme un dandy gentilhomme. Équipée d'une canne de duel, prévue pour dévier les épées/se défendre, sans pour autant être capable de tuer.

Fiche RP.
— Servante et coursière pour Mira Noblesang.

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MessageSujet: Re: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies EmptyMar 9 Juin - 16:29

« Croquette » était exténuée.

Ce matin, au lieu de se lever pleine d'entrain et d'espoir au son de la cloche, comme cela arrivait parfois après des nuits douces et enfumées d'orkann, elle s'était tirée du lit à la voix de dame Noblesang : et lorsque celle-ci était levée, habillée et descendait à l'atelier avant qu'Andalie aie soulevé sa tête de l'oreiller, c'était mauvais signe.

Malgré la boule de culpabilité logée dans sa gorge et l'angoisse, viscérale, qui lui tournait les entrailles et lui donnait la nausée, Andalie avait sorti ses pieds de sous la couette, observé longuement ses orteils dans un demi-sommeil anxieux, avant de faire son lit.
Lorsque sa main avait ouvert le tiroir de la commode où elle rangeait, bien à l'abri dans du papier journal, son matériel à pipe, elle tremblait. Ses veines étaient visibles, comme des ramures, le long du dos de sa main, le long de ses doigts, à son poignet.
Elle avait le vertige.
Et il n'y avait plus rien dans le tiroir — elle était à court.

Son royaume pour un réconfort — des paroles douces, un câlin tendre, un souhait de bien-être, une longue taffe d'orkann ou un thé chaud — mais elle n'avait ni royaume, ni alliés. Dame Noblesang aurait ri à l'idée, ne relevant pas le nez de son établi. Qui avait-elle d'autre ? Où étaient ses frères, encore ?

Alors elle se fit violence. Elle descendit, fit une toilette de chat avant de s'habiller pour sortir. Malgré le voile de terreur, et le vide intérieur, Andalie fit face. Elle usa toute son énergie, mentale comme physique, à faire comme si c'était une journée normale, où elle n'avait pas envie de se jeter sous un carrosse pour que la peine disparaisse, où elle n'avait pas envie de se faire si petite, si invisible qu'elle en éviterait ses propres souffrances.

Elle fit comme tous les jours: elle récolta des fraises et des fruits des bois au marché, plusieurs œufs et une bouteille de lait au vendeur en haut de la rue du Puits, et fit le strict minimum de conversation nécessaire avec le pâtissier à qui elle acheta une viennoise ; elle était incapable de tenir le fil, ou aligner des mots, mais celui-ci avait l'avantage de parler pour deux. Andalie fit la cuisine pour dame Noblesang, qu'elle servit dans son atelier, mais continua son après-midi sur un estomac vide, allant jusqu'au bureau des postes pour le courrier et lorgnant sur la vaste demeure des Ventrevie pour observer les rosiers. Elle était toujours si vide, et tremblait tant.

Le soir-même, dame Noblesang insista pour dîner dans la salle de réception, avec elle. Andalie ne se souvenait pas l'avoir regardée une seule fois, après avoir dressé la table et servi un ragoût insipide. Elle s'attendait à des remontrances, mais la rousse avala le tout en la fixant, silencieuse. Une fois le tout débarrassé, elle eu le droit à un commentaire prononcé d'une voix douce, presque empathique.

« Vous êtes en manque. »

Et c'est ainsi que sur les coups de vingt-deux heures, après s'être acquittée de toutes les tâches ménagères du logis, avoir rempli toutes les listes que dame Noblesang lui confiait, Andalie se rhabilla et descendit jusqu'à l'herboristerie en coin de quartier, au-delà de l'arène, équipée de sa seule canne de duel et son air de six pieds sous terre, apporter la bouteille de lait achetée le matin même.

Elle poussa la porte pour entrer dans la minuscule, odorante échoppe pleine de bric-à-brac et de plantes de toutes sortes, la tête basse, le teint cireux, pour aller droit au comptoir déposer la bouteille.

« Pour vos huits chats. » souffla-t-elle en lorgnant la vieille dame qui revenait pour servir le client précédent, un homme aussi haut qu'elle, visiblement musclé, aux cheveux bleus. Elle fit un pas d'écart pour incliner le buste vers lui — et son animal de compagnie aussi coloré que sa chevelure — et marmonner un « bonsoir » pâteux.

« Pardon, je ne souhaitais pas vous brûler la politesse. »
Je suis : Rehan Renard,
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Rehan Renard

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MessageSujet: Re: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies EmptyMar 16 Juin - 16:08

Orkann et fourberies
- soirée du 16 follune 1100, dans la boutique de Dame Carmen -


Levant une main qu’il se mit à passer dans la fourrure rose, il se redressa instinctivement en entendant la clochette de la porte tintinnabuler. Se retournant – son sourire mièvre toujours aux lèvres – il regarda la haute stature s’avancer.

C’était une bien étrange personne qui venait de passer la porte. Une femme – à n’en point douter – plus grande que lui et pourtant sans l’aura grandiloquente des personnes de sa stature. Un rapide coup d’œil à la moitié de son visage visible – l’autre étant cachée par une moitié de masque ce qui ajoutait à son étrangeté – lui fit rapidement comprendre qu’elle venait sans doute ici pour se refaire la santé… ! Ou pour les mêmes raisons que lui alors qu’elle posait une bouteille de lait sur le comptoir tout en énonçant « pour vos huit chats » à la patronne qui revenait avec son petit paquet.

Il ne pu que lui sourire de re-chef lorsqu’elle s’adressa à lui.

- Ne vous inquiétez pas, je viens d’être servi ! répondit-il tout en sortant sa bourse pour payer l’herboriste Merci Madame Carmen, je reviendrais sans doute dans quelques semaines ! ajouta-t-il en la payant avant de prendre son petit paquet

Rokann avait longé le comptoir jusqu’à la femme qu’il s’était mis à renifler sans vergogne avant de frotter sa tête poilue sur son bras. L’animal avait toujours été de nature avenante et sa curiosité débordante le poussait toujours vers ce qu’il ne connaissait pas. Rehan lâcha un petit rire.

- Rokann, n’embête pas la dame ! Elle a l’air éreintée, vient par ici ! dit-il joyeusement

Il n’avait même pas remarqué que la dite dame était croquemite mais c’était bien un point dont il se moquait éperdument…

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MessageSujet: Re: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies EmptyVen 26 Juin - 16:36

Andalie fixa l'animal qui s'approchait avec une méfiance certaine, lâchant le goulot de la bouteille de lait qu'elle laissa sur le comptoir. Elle le laissa se frotter contre son bras, n'ayant aucune idée de la façon dont elle devait réagir ou s'il pouvait être dangereux — dans sa fatigue et sous le voile d'anxiété qui lui grillaient les neurones, elle considérait que rester immobile et laisser passer le moment était la meilleure méthode la majorité du temps.

« Rokann, n’embête pas la dame ! Elle a l’air éreintée, viens par ici ! »

Après quelques secondes, elle hésita un index vers le tilikop, pour toucher sa fourrure rose singulière et montrer qu'elle se voulait douce et amie. Elle n'était pas plus en confiance que ça pour autant: sa rencontre avec une autre propriétaire d'animal, dix jours plus tôt, ne lui laissait pas un souvenir heureux. Cependant, celui-ci avait l'air bien, bien moins agressif et dangereux.

Elle releva le regard vers l'homme aux cheveux bleus. Il venait d'acheter des herbes, alors. Elle ignorait pourquoi son cerveau n'avait pas fait le lien tout de suite: elle était dans une herboristerie, qu'aurait-il pu faire d'autre ? Peut-être était-ce la tension qui l'empêchait de réaliser son environnement. Elle s'empressa d'ajouter:

« Vous me rassurez, je ne voulais pas offenser qui que ce soit. C'est votre animal ? Il semble si peu farouche. »

Après quoi, ramenant ses mains à elle, elle entreprit de récupérer son porte-monnaie pour préparer la somme nécessaire à son orkann.
Je suis : Rehan Renard,
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MessageSujet: Re: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies EmptyVen 3 Juil - 17:06

Orkann et fourberies
- soirée du 16 follune 1100, dans la boutique de Dame Carmen -


Rangeant son paquet dans une de ses poches, il sorti sa blague à tabac de l’autre. Sans attendre, il se roula donc un joint d’orkann sans se fustiger du lieu. Après tout, l’unique cliente présente était là pour la même chose que lui.

- Oui, c’est Rokann, un tilikop. répondit-il avant de lécher la feuille de sa roulée pour la coller Il n’a jamais été farouche, je crois que tous les tillikop sont comme ça. Son frère, enfin un autre tilikop que nous avons trouvé avec lui était tout aussi peu peureux que Rokann. Après je ne veux pas m’avancer, peut-être que ces deux-là sont juste en quelque sorte redevables envers nous… Mais quand bien même, il va toujours facilement vers les étrangers ! rit-il Vous pouvez le caresser si vous voulez, il ne vous mordra pas ! Il adore qu’on lui gratouille derrières les oreilles…

Il glissa sont joint sur l’oreille – n’allant tout de même pas jusqu’à l’allumer dans la boutique – puis se mit à jouer avec sa boite d’allumettes. Madame Carmen revînt au même moment avec le paquet de sa cliente.

- Hé voilà ma belle, mes huit chats te remercie pour le lait ! elle allait prendre la bouteille mais Rokann qui avait entendu le mot « lait » se désintéressa de la croquemite et dandina vers l’apothicaire, jusqu’à se frotter à la bouteille de lait pour en réclamer quelques gouttes
- Rokann enfin ! s’amusa Rehan qui se mit à pouffer mais sans empêcher son animal de quémander
- Tu es bien mignon toi ! Quel beau pelage ! Mais oui, je vais t’en donner un peu…

Sans attendre, elle sortie une coupelle de sous son comptoir et y versa du lait. Rokann de se fit pas prier et se mit à laper goulûment.

- On est parti pour rester un moment ! rit Rehan une fois encore Je peux fumer Madame Carmen ? il reprit son joint de son oreille pour le lui montrer
- Vous pouvez aller dans la cours arrière si vous voulez. répondit-elle Toi aussi Andalie, allez vous posez la jeunesse ! elle leur montra la petite porte presque dissimulée par les multiples étagères et armoires qui exposaient les produits de la boutique
- Allons-y alors ! Je vous laisse le soin de Rokann, il nous rejoindra après, je laisse la porte entrouverte !
- A la bonne heure ! A plus tard ! répondit-elle tout en caressant Rokann qui continuait de laper et qui se mit à se tortiller de plaisir sous les caresses

Rehan lança un sourire à la croquemite et rejoignit la cours sans attendre. Il craque rapidement une allumette et s’enveloppa bien vite d’une fumée âpre.

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MessageSujet: Re: [16 follune 1100] Orkann et fourberies   [16 follune 1100] Orkann et fourberies Empty

 
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