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 Eugène Morte-Branche

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MessageSujet: Eugène Morte-Branche   Eugène Morte-Branche - Page 2 EmptyJeu 8 Nov - 17:06

Rappel du premier message :


Les informations générales sur l'état civil

Nom : Calanthe (Déshérité); Morte-Branche
Prénom : Eugène
Surnom(s) : Aucun
Sexe : Masculin
Date de naissance : 17e jour du mois de Cellune 1081 (dix-neuf ans)
Orientation sexuelle : Homosexuel ou, au mieux, platonique.
Natif du :
[] Marvier
[X] Gravorn (Borderoc)
[] Creux-Lac

Résident du :
[X] Marvier (Albatra)
[] Gravorn
[] Creux-Lac


Adhère au :
[] Naâmisme
[X] Maâlisme


Membre de :
[X] Aucun de ces groupes


Les informations générales sur le physique

Taille :  1m82
Poids :  65kg
Carrure/musculature : Une silhouette svelte et une stature droite.
Couleur des yeux :  Un vert pâle
Couleur des cheveux :  Platine
Couleur de peau : Blanche ; a-t-il jamais vu le soleil, celui-là ?
Coupe de cheveux : Des cheveux entretenus, taillés en un dégradé léger, naturellement ondulés. Ils retombent souvent sur le visage du jeune homme, à croire qu'il ne sait pas les dompter.
Pilosité faciale : Imberbe
Tâche(s) de naissance : Aucune
Cicatrice(s) : /
Tatouage(s) : Aucun
Bijou(x) : Une perle bleu ciel à son oreille gauche, pendue à quelques maillons argentés.
Handicap(s)/maladie(s) :  Aucun
Autres informations :  /

Advictâme


Quel est le troisième don de votre personnage, les situations propices à son activation et ses limites d'utilisation ?
Nom et description du 3ème don : Bouclier de la foi – lorsqu'un adversaire frappe Eugène alors que ce don est activé, un bouclier éthéré de forme circulaire apparaît  autour du jeune homme afin de le protéger.
Situation(s) propice(s) à son activation : Eugène considère ce don comme le signe divin que son heure n'est pas encore venue – qu'il lui reste à accomplir quelque action prophétique. Ce don ne s'active que lors d'une émotion vive et incontrôlée, c'est-à-dire lorsque l'instinct de défense prend le dessus sur la réflexion rationnelle.
Limites : Ce don ne concerne qu'Eugène, et ne s'appliquera aucunement à une personne lui étant proche. Néanmoins, lorsque le jeune homme reçoit une attaque spontanée, le bouclier n'absorbera pas la totalité du choc ; un coup porté à plus de soixante-cinq kilos de puissance (soit le poids total d'Eugène) ne sera pas entièrement absorbé et pourra secouer voire projeter Eugène (entraînant s'il le faut fractures et autres déconvenues). Les lames et la chaleur, elles, sont toutefois entièrement absorbées par le coup (à moins de chuter dans un volcan évidemment). S'il n'est pas "utilisé", c'est-à-dire s'il n'apparaît pas pour encaisser un coup mais sur le coup d'une vive émotion, le bouclier restera actif dix minutes.



Par rapport à l'Advictâme votre personnage est un :
-Éveillé


Connaissances, Compétences & Psychologie

Quelle est l'activité professionnelle de votre personnage : Chercheur (apprenti, théologiste)

Qu'est-ce que votre personnage sait faire :
[X] Lire
[X] Écrire
[] Cuisiner (D'autres le font fort bien mieux que lui, pour lui.)
[] Faire un feu en milieu sauvage
[] Chasser
[X] Monter une monture (Une compétence qui lui est acquise du fait de son éducation privilégiée)
[X] Manier une arme (Maîtrise d'une lame courte, couplée à un esprit analytique aiguisé)
[] Escalader (« Quoi ? »)
[] Dérober des objets
[] Tuer (Si tuer est une capacité inhérente à chacun, il n'a encore ôté la vie à personne)
[X] Manipuler autrui (Lié notamment à sa bonne tenue, à la gentillesse qu'il peut susciter - ce qui est bien sûr le cas !)



Donnez (au minimum) 3 défauts/points faibles et 3 qualités/points forts de votre personnage :
-Peur du feu : la vue des flammes sera susceptible de stimuler l'instinct de survie du jeune homme tant il craint les souvenirs qu'ils lui inspirent (bien plus qu'il ne redoute leur effet). S'il est par nature calme et réfléchi, cette phobie réveillera sa spontanéité ainsi qu'une forme de lâcheté juvénile.
-Privilégié : loin d'ombrager l'autonomie qui le caractérise, Eugène est issu d'un milieu privilégié que traduisent encore certains de ses réflexes : la distance physique qu'il entretient avec les inconnus de basse extraction en serait l'illustration la plus probante. Dans un même ordre d'idées, la prise en main d'une arme ne lui paraît pas évidente pourvu que d'autres soient disposés à se battre pour lui. Et à se questionner sur ce regard placide, traduit-il du mépris ou de l'indifférence ?
-Pessimiste : le monde a perdu de ses couleurs, l'enthousiasme et l'espoir de la jeunesse se sont envolées à la suite du pèlerinage vers l'Arche. La philosophie d'Eugène se veut aujourd'hui fataliste et met en avant la notion de « désespoir au service de l'humanité ». Quelle rédemption pour une âme intrinsèquement viciée ?


-Réfléchi : un intellectuel, homme de lettres d'autant plus disposé à la réflexion savante ou stratégique qu'à la pulsion guerrière, qu'il juge brute (par opposition à « raffinée ») et sauvage (par opposition à « civilisée »).
-Doux : un tempérament doux qui est le gage d'un relationnel agréable, amical. Eugène s'exprime habituellement d'une douceur raffinée, accentuée par sa maîtrise de la langue ; il veille à ne jamais hausser le ton, jouant sur l'impact des mots plus que sur la puissance de leur prononciation.
-Pieux : une foi qui lui enseigne la contemplation et l'ouverture d'esprit apparente, bien qu'il se considère plutôt conservateur, opposé au progrès dans ce qu'il a d'extravagant dans son rapport à la divinité.


Qu'est ce que votre personnage aime/déteste ?

IL AIME : la théologie ancienne, l'érudition, la mesure et la bonhomie, la littérature, la royauté marvoise, la contemplation des phénomènes oniriques et naturels.
IL DÉTESTE :  la violence (physique comme langagière), être mis mal à l'aise par une personne plus extravertie qu'il ne l'est, les chanteurs lyriques et autres artistes de la voix, les mathématiques, la pauvreté.




Son passé et ses projets ...

Votre personnage est-il :
[X]Célibataire


Quelle est l'histoire de votre personnage :

La rêverie, Eugène y était encore étranger lorsque sa mère perdit la vie et que sa tante, sœur du mari endeuillé, prit en charge l'éducation du jeune héritier. Il était alors âgé de dix ans lorsqu'elle entreprit de chasser les sermons militaires de l'esprit du jeune homme, élevé au sein d'un noble lignage vornois, pour y inculquer à la place le goût de la réflexion et de la lecture, lui ouvrant ainsi les portes de ce qu'elle nommait joyeusement la pensée libre. Ses pérégrinations culturelles soulevèrent en lui des questions d'ordre ontologique et les seuls enseignements du naâmisme qui lui avaient été dispensés ne suffisaient à y répondre. « Vous êtes un esprit aiguisé », le complimentait sa tante, attelée à ses propres travaux de recherche. Et lui de répondre : « Ne m'aiderez-vous pas à y voir plus clair ? ».
Une affection sincère unissait ces deux parents. Le temps passait et les valeurs traditionnellement inculquées aux jeunes vornois dépassaient Eugène : il ne s'y intéressait pas. L'admiration qu'il éprouvait pour sa tutrice, leur proximité, la tendresse qu'il en recevait aussi ; tous ces éléments s'accumulaient et faisaient de cette femme savante un modèle d'avenir qu'il chérissait – bien davantage que son père, officier ducal devenu plaintif et brutal.

L'Appel approchait et les questions ne cessaient de l'assaillir – au sujet de cette pierre de vie, de cette malédiction qui bientôt le frapperait, de l'injustice de cette sentence. Alors elle le prenait entre ses bras, passant ses doigts effilés entre ses mèches blondes, murmurant quelques éléments de réponse : « L'homme est intrinsèquement mauvais », disait-elle. « Ne pensez pas à ce petit rien dont le juste Kamaâl vous afflige, pensez plutôt à cet espoir de rédemption duquel il nous est fait don. » Et il sentait ce regard lourd, perçant, vague incarnation de cette emprise maternelle qu'elle exerçait sur lui : le sien en revanche était dirigé vers la pierre bleue qui pendait à son cou. « Loué soit-il », ajoutait-il alors. Et elle souriait.
L'un ne passait sa journée sans l'autre ; cette relation s'était ancrée dans leur quotidien à tel point qu'Eugène faisait partie intégrante des affaires de sa tante. Un jour qu'il la surprit en pleine plaidoirie avec un érudit de même ascendance, elle l'invita à les rejoindre et à s'exprimer sur ce qu'il pensait de la religion moderne. Il répondit que, malgré le respect qu'il éprouvait pour les écritures populaires, il ne souhaitait pas occulter l'héritage condamnable qui était le lot de toutes les âmes humaines : et que, si dieu le voulait, il s'évertuerait à vivre éloigné du pêché, dans l'inquiétude constante de lui plaire et mériter son pardon. L'érudit acquiesça. « L'innocence et la pureté vous sont acquises, jeune homme, et dieu le sait » répondit-il, avant de reprendre : « Quel âge a-t-il ?
- Dans quelques semaines, deux mois tout au plus ; quatorze ans. » Un temps. « Il sera parfait » dit-il ; et elle répondit par l'affirmative, soulignant qu'il serait malgré tout nécessaire de hâter les préparatifs.

Les jours passèrent et Eugène répondit à l'Appel plus sensiblement qu'il n'aurait probablement dû. Le besoin fut si intense, si pressant que son esprit tout entier fut absorbé par la nécessité de s'y rendre, tant et si bien qu'il quitta le domaine de Borderoc sans se questionner sur la difficulté du voyage. Il ne put aller bien loin avant qu'une escorte mandée par son père ne le rejoigne et ne le conduise jusqu'à l'Arche – dans le plus grand secret de sa tante pour qui son affection avait été tout à fait supplantée par le besoin de s'accomplir.
Quitter le Gravorn s'avéra plus difficile qu'il n'y aurait cru cependant, puisque la nécessité de se reposer réveilla en lui la réalité du voyage et de l'inconnu. Or y revenir le serait d'autant plus ; Eugène s'émerveilla du rayonnement culturel du Marvier et ces terres prirent l'aspect mystique d'un sanctuaire béni des dieux. Y avait-il fait un pas que déjà la rumeur sourde des enfants du savoir caressait ses oreilles, que les reliures raffinées des livres présentés au pied des bibliothèques éveillaient en lui mille besoins superflus. Les arbres eux-mêmes semblaient majestueusement inclinés à son passage, pour l'accueillir dans ces terres où la connaissance était susceptible de se repaître au coin de chaque auberge, derrière chaque monceau de fleurs. Et l'Arche elle-même se dressait devant lui, d'une magnificence qui n'en finissait plus de dire : Viens, rejoins-moi !

L'attente, quoi qu'elle ne se comptât plus qu'en heures, fut d'une vive douleur pour Eugène. Ses pensées glissèrent vers sa tante et l'amour qu'il lui portait, se blâmant de n'avoir pu réaliser le pèlerinage à ses côtés. La simple vue du sanctuaire chassa ces images et le moment vint. Comprenant qu'il ne pourrait malgré tout échapper au sort et succombant à la faiblesse de sa condition mortelle, Eugène disparut dans l'Arche.
Naâme et lui partagent aujourd'hui le secret de ce qui s'y est déroulé ; mais tous furent témoins du changement opéré par ce sacrement. Le jeune homme émergea du portail des heures plus tard, la stature droite, la pierre de vie pendue entre les doigts. Quelque joie qu'il avait ressenti des suites du rêve qu'il y avait fait, une ombre d'hésitation passait sur ses traits ; et son compagnon de voyage eut tôt fait de remarquer l'élan de maturité nouveau qui s'y était dessiné.

Le retour fut plus long, placé sous le signe de la mélancolie. Le Marvier se constitua en paysage état-d'âme ; jamais les arbres ne lui avaient paru plus noirs, les fleurs plus ternes, les livres plus vierges qu'à cet instant. Le Marvier, non – le monde tout entier avait étrangement perdu de ses couleurs. Même le confort de ses appartements de Borderoc ne suffirent à apaiser son âme lorsqu'il fit son retour auprès de son père. Et à peine avait-il passé les portes du grand hall que déjà celui-ci le prenait dans ses bras d'un air maussade : « Madame votre tante a perdu la vie », dit-il, et Eugène soupira.
Il obtient alors de son père le droit de s'installer dans le domaine de villégiature de sa lignée et s'y isola, au sud du passage d'embuscade, sur le flanc des montagnes. Les années qui suivirent se révélèrent bien tristes pour qui ne s'accommode pas de la solitude : mais Eugène se porta fort bien tout seul, et plus les années passaient, plus son père réduisait la domesticité entourant son fils, lequel se détachait des valeurs familiales et délaissait ses responsabilités d'héritier. Il avait mené de féroces croisades contre les précepteurs qui lui étaient envoyés et s'instruisait de lui-même, menait ses propres recherches, désorganisées mais non moins savantes. Le décès de sa tante lui avait inspiré plus que de raison son affection pour la théologie ancienne ; et la bibliothèque familiale dressait là ses plus beaux rayonnages, véritable source de savoir pour qui ne portait pas des ambitions trop élevées.

Le désespoir refermait lentement ses serres sur lui. Eût-il pris la forme d'un monstre sanguinaire qu'Eugène n'en eut été plus dérangé ; les malheurs se succédaient et le jeune homme n'y voyait là que la juste colère d'un dieu las et désemparé. Tout d'abord, ce fut sa voix qui changea et dont il devint incapable de contrôler le timbre ; sa passion pour le chant s'éteignit. Puis, des vols se succédèrent dans le domaine duquel il ne s'éloignait pas : à ces événements succédèrent la douleur de la paranoïa, de l'insomnie, des cauchemars ; et, lorsque son esprit s'en voyait réduit aux pires extrémités, des hallucinations, affreuses chimères de sa tante, murmuraient : « Souillée, l'innocence ! ». Enfin, les tensions qu'il entretenait avec son père achevèrent d'asseoir la domination du désespoir sur son esprit, et Eugène fut déshérité.
Alors quitter le Gravorn devint inévitable ; et ce fut vers le Marvier qu'il tourna son regard, armé de ses quelques travaux de recherche et des quelques livres desquels il s'était épris. Là, animé d'un espoir incertain, désireux de se noyer dans l'euphorie de sensations nouvelles, il rejoignit Albatra et investit le peu de fonds qu'il possédait pour se loger. De douloureux mois qui lui firent prendre conscience que le monde avait ses propres règles, lesquelles ne se conformeraient pas aux caprices d'une âme égarée.
À cette précarité nouvelle s'ajoutait la nécessité du travail, les quelques pièces constituant son coffre n'assurant pas le maintien de sa position. Il entreprit par conséquent de présenter ses travaux aux intellectuels marlois et, au sortir de nombreux entretiens et d'un déploiement excessif de ses productions théologiques, acheva de convaincre une lignée bourgeoise qui se rendit garante de son financement ; le soutien qu'elle lui apportât nécessita en retour qu'il publie ses travaux. Pour cela, un devoir : se former aux impératifs non plus de la théorie mais de la pratique, en développant méthodologie, classification et enseignement.


Avez-vous des projets, objectifs particuliers pour ce personnage:
Sans crier à la planification, j'ai l'intention de le diriger dans une voie particulière – la façon dont cela se fera dépendra évidemment des interactions que je ferai ! Développer sa psychologie et mettre au jour les événements qui ont marqué son passé, en tous les cas.




Informations sur le compte

Ce personnage est-il un prédéfini ?  
[] Oui
[X] Non


Ce personnage est-il inspiré d'un concept de personnage ?  
[] Oui (Merci de préciser lequel)
[X] Non


Autres informations à partager ?
L'ambivalence du personnage de la tante et des sentiments d'Eugène à son égard sont tout à fait volontaires ! À moins que cela ne rende la lecture / compréhension de l'histoire compliquée ou invalide, je préfère ne pas y toucher.



Les engagements

En m'inscrivant sur ce forum je ...  
[X] M'engage à respecter le règlement.  
[X] Accepte que des dispositions soient prises par le staff dans le cas où l'une de mes absences de longue durée handicape mes partenaires de jeu (ex : passage de tour de jeu dans le cas d'un sujet lié à une intrigue ou annulation de rp)  



Image de Asynja






Parlons un peu de toi


Dans le RP forum, qu'est ce que tu aimes/ n'aimes pas ?
TU AIMES : La rédaction qui est imposée, sa forme romanesque, l'entraînement stylistique que ça peut représenter... (en vue d'écrire un roman, peut-être?)
MAIS CE QUI T’ÉNERVE C'EST : Je me permets de ne pas y répondre – car je l'ignore encore.



Si tu devais donner l'une de tes qualités et l'un de tes défauts de RPGiste, ça serait quoi ?
TA QUALITÉ : Volontaire.
TON DÉFAUT : Maladroit ?


Quand tu joues : Tu aimes l’imprévu ou plutôt la planification  ?
J'ai une idée de la voie que prendra mon personnage, mais absolument rien de planifié en ce qui concerne la façon dont ça arrivera ; de même, en ouvrant un roleplay, je pense que le mieux est de ne pas en prévoir la fin (à l'exception peut-être lors d'un retour dans le passé).  


Une (ou plusieurs) dernière chose à nous dire ?
Je n'ai jamais pratiqué de jeu de rôle sur forum, c'est une toute première expérience pour moi. Je compte alors sur votre indulgence, mais je pense m'en sortir sans qu'on ait besoin de me tenir la main ou sans constituer de quelconque gêne pour mes partenaires de jeu. Et d'avance, pour votre lecture : merci !

NB : ma fiche est terminée ! j'ai noté son nom de famille dans le titre du sujet afin de faciliter la classification, mais Eugène ne le porte plus - ayant été déshérité. Je suppose qu'il ne porte pas de nom orphelin, étant majeur lors des faits ? 



Image de Mx-chronos


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MessageSujet: Re: Eugène Morte-Branche   Eugène Morte-Branche - Page 2 EmptySam 24 Nov - 11:44

Merci à vous pour la validation, les modifications ont été apportées, je m’attelle au reste !
 
Eugène Morte-Branche
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